La Clermont Innovation Week 2022 lance son appel à candidature

Un projet innovant ? Une idée nouvelle ? La Clermont Innovation Week revient en 2022, du 6 au 16 avril, pour une 5e édition imaginée, conçue et animée par toutes celles et ceux qui inventent aujourd’hui le monde de demain et avec l’ambition de mettre à l’honneur les étudiants.

Pour faire partie de la programmation, les porteurs d’événements sont invités à déposer leur projet dans le cadre d’un appel à candidature ouvert jusqu’au 26 novembre.

Le formulaire et toutes les informations utiles sont à retrouver sur clermontinnovationweek.eu

Pendant 10 jours, l’innovation sous toutes ses formes est mise en lumière pour montrer l’effervescence d’idées de notre territoire, débattre, favoriser les rencontres et mieux comprendre les enjeux de l’innovation actuels et futurs.

Chacun trouvera de quoi s’inspirer : grand public, familles, scolaires, professionnels, grâce à une programmation riche de rencontres, démos, expositions, expériences, portes ouvertes et une multitude d’autres manifestations. En 2021, ce sont près de 60 événements qui ont eu lieu sur le territoire de Clermont Auvergne Métropole, sous l’impulsion d’organisateurs et de partenaires chaque année plus nombreux.


La Clermont Innovation Week est soutenue et organisée par Clermont Auvergne Métropole en partenariat avec Astu’sciences, le Pôle de compétitivité Axelera Auvergne-Rhône-Alpes, la Chambre de Commerce et d’Industrie métropolitaine du Puy-de-Dôme, le Pôle de compétitivité CIMES Auvergne-Rhône-Alpes, la Compagnie rotative, le Damier, la Délégation régionale académique à la recherche et à l’innovation (DRARI) Auvergne-Rhône-Alpes, Innovatherm – Cluster Auvergne-Rhône-Alpes Innovation, l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE) – Centre Clermont-Auvergne-Rhône-Alpes, Institut Analgesia, Isite CAP 20-25, le Rectorat de l’Académie de Clermont-Ferrand, TEDxClermont, l’Université Clermont Auvergne, la fondation de l’Université Clermont Auvergne, Végepolys vallée.

Du 1er au 12 novembre, la COP26, conférence des Nations unies sur les changements climatiques, se tient à Glasgow au Royaume-Uni. En parallèle du sommet mondial des dirigeants,  plus de 150 évènements parallèles sont mis en place dans le pavillon de l’Union Européenne, parmi lesquels le projet URBACT “UrbEnPact” porté par Clermont Auvergne Métropole et ses partenaires européens.

Urban Energy Pact : l’ambition d’un territoire Net Zero Energy avant 2050

Le projet Urban Energy Pact (Urb-En Pact) est un réseau composé de 8 villes et territoires européens*, sélectionnés dans le cadre du 3e programme URBACT Action Planning Networks. L’objectif ? Définir un plan d’action concret impliquant tous les acteurs métropolitains, qui permettra à chaque ville partenaire de devenir un territoire Net Zero Energy avant 2050.

Aujourd’hui, 75 % des citoyens européens vivent en ville, ce qui représente près de 80 % de la consommation de ressources naturelles. Ces villes produisent 50 % des déchets mondiaux et 75 % des émissions de gaz à effet de serre. Par conséquent, les villes, en tant que systèmes de production et de consommation, sont parmi les premiers facteurs responsables de la dégradation de l’environnement, du climat, de la qualité de l’air et leur impact se fait sentir partout dans le monde. Si rien n’est fait, la situation ne fera qu’empirer, les Nations Unies estiment que 66% de la population mondiale vivra en zone urbaine en 2050.

Citoyens, institutions, entreprises, prennent aujourd’hui conscience des efforts et des progrès collectifs à faire pour réduire l’empreinte de nos villes sur l’environnement. La question de l’énergie, qu’elle soit liée à sa production ou à sa consommation, est un enjeu central que le projet Urb-En Pact entend aborder. Un territoire Net Zero Energy doit produire et livrer l’énergie nécessaire à ses citoyens, services publics, entreprises, en incluant l’ensemble de la société dans la boucle énergétique, conçue comme une économie circulaire locale.

Pour atteindre l’objectif fixé par le projet Urb-En Pact, de nombreux défis doivent être relevés :
– comment produire cette énergie dans un périmètre court dans et autour de la métropole ?
– quel mix énergétique choisir : électricité, gaz, géothermie… ?
– quand cette production a-t-elle lieu au cours d’une année (changements saisonniers) ?
– comment livrer ces différentes sources d’énergie ?
– comment les conserver ?
– comment renforcer les liens entre production et consommation d’énergie ?

Au-delà des aspects techniques et technologiques, l’objectif « Territoire Net Zéro Énergie » ne peut être atteint sans la contribution de tous : familles, citoyens actifs, entreprises, institutions publiques. Chacun devra participer à la réduction de la consommation d’énergie sur le territoire afin que les besoins résiduels soient couverts par une énergie verte et durable, produite et livrée localement. L’inclusion citoyenne et la sensibilisation des consommateurs au niveau local seront au cœur de l’enjeu. L’objectif principal sera de renforcer l’implication des citoyens et des consommateurs dans la production d’énergie, le commerce équitable et la consommation d’énergie au quotidien.

urbenpact cop26Porter la voix des villes et de leur territoire pour révéler leur potentiel d’action pour relever les défis environnementaux

COP26 : Les petites et moyennes villes aux commandes de la course contre le changement climatique

Du 3 au 5 novembre 2021, 6 territoires européens composant le réseau URBACT « Urb-En Pact », participent à la COP 26 à Glasgow pour démontrer que les villes, des plus petites aux plus grandes, sont une échelle pertinente pour agir et lutter contre le changement climatique. L’engagement, l’action et le changement ne sont pas exclusivement le rôle des pays ou des grandes villes.
A Glasgow, la délégation d’environ 35 personnes de 6 villes impliquées dans le réseau Urb-En Pact (élus, énergéticiens, techniciens, etc.) est déterminée à partager sa vision du rôle des villes dans la lutte contre la mondialisation échauffement. Un rôle moteur, fédérateur, innovant et mobilisateur. Le réseau URB-EN PACT s’engage à porter la voix des territoires à Glasgow dans le cadre de la COP26.

Pour se faire entendre, la délégation participe actuellement aux événements de la COP26 consacrés aux thèmes de la finance (3 novembre), de l’énergie (4 novembre), de la responsabilisation et de la jeunesse (5 novembre).
Les villes sont des laboratoires vivants du changement. Elles mettent en œuvre une transition concrète, efficace, sur mesure, à taille humaine. Parce que nous sommes convaincus que les territoires sont l’échelle d’action pertinente, les villes ont vocation à se fédérer autour de la transition écologique. Notre participation à la COP26 nous permettra de promouvoir l’absolue nécessité d’un engagement des parties prenantes au niveau territorial.

 

* Les villes européennes partenaires sont : Municipality of Galati (Roumanie), Association of Bialystok (Pologne), CIM Alto Minho (Portugal), Palma di Montechiaro (Italie), Métropole Rouen Normandie (France), Municipality of Elefsina (Grece), EcoFellows Ltd. (City of Tampere) (Finlande), Italian National Agency for New Technologies, Energy and Sustainable Economic Development (Rome, Italie).

 

Dans le cadre de l’appel à projets “Recherche-action”, Clermont Auvergne Métropole encourage l’innovation. En aidant financièrement les lauréats, elle contribue à faire avancer la recherche et participe à l’émergence de solutions utiles aux acteurs sociaux-économiques du territoire. C’est le cas du LIMOS, un laboratoire informatique basé aux Cézeaux qui développe un outil pour aider les personnes malvoyantes.

Traverser sans risque à un carrefour n’a en soit rien de bien compliqué pour le piéton qui a appris, enfant, à se fier à la couleur du petit bonhomme. Mais pour les personnes déficientes visuelles, cela représente un défi. Arnaud Grégoire connaît cette problématique qui génère “une source de stress chez beaucoup de malvoyants”. Au Centre de Rééducation pour Déficients Visuels (CRDV) de Clermont-Ferrand, dont il est le directeur, quatre instructeurs de locomotion accompagnent les aveugles et les malvoyants de l’enfance au grand âge, le temps de séances d’immersion en ville. Ensemble, ils se familiarisent avec les sons de la rue, apprennent à percevoir d’où viennent les voitures, les bus, les passants. “Chacun peut essayer de fermer les yeux à un carrefour. C’est une expérience d’une grande violence.

Sensible à la question de la déficience visuelle et intéressé depuis plusieurs années par la spatialisation du son, Jean-Marie Favreau, chercheur au LIMOS, a tissé des liens avec le CRDV. Très vite, au cours de ses échanges avec le personnel du centre, la thématique de l’accessibilité à l’espace urbain pour les personnes malvoyantes est devenue centrale. Sur ce sujet bien spécifique, tout restait à inventer. “Nous avons réfléchi à un outil qui soit pertinent pour les personnes qui ont cette crainte d’aller en immersion”, explique Jean-Marie Favreau. “L’idée, était de reproduire l’univers sonore de la rue dans un espace dépourvu d’objets roulants non identifiés. Pour que les malvoyants puissent s’entraîner à la locomotion en toute sécurité”, abonde Arnaud Grégoire. De ce souhait est né le concept de dispositif d’immersion virtuelle s’appuyant uniquement sur la spatialisation du son. Une première !

Après avoir tracé pendant un an et demi les grandes lignes de ce projet, Jean-Marie Favreau en a fait l’an dernier le sujet de stage de Cathy Thomé, une étudiante de Master 2 MIASHS (Mathématique et informatique appliquées aux sciences humaines et sociales). “En cinq mois, elle a réussi à proposer un premier prototype. Grâce au financement de la Métropole*, nous pourrons entre autres l’embaucher dès le mois d’octobre, en tant que jeune ingénieure sur le projet”, se réjouit Jean-Marie Favreau.

Notre objectif pour les neuf prochains mois, est de consolider ces bases pour avoir à terme un outil qui devienne opérationnel pour les premiers besoins des personnes”, annonce Jean-Marie Favreau. Pour ce faire, Cathy Thomé sera épaulée par le laboratoire informatique et différents acteurs impliqués (une institutrice de locomotion, une psychologue, un musicothérapeute…). Ce futur outil nécessitera peu de choses pour fonctionner (un jeu d’enceintes, un réseau wifi, une tablette et un espace calme) et sera libre d’accès pour les établissements spécialisés. •

 

Les autres projets qui ont retenu l’attention de la Métropole
Lors de ce troisième appel à projets “Recherche-action”, deux autres candidats ont été récompensés. La société Greencell, en partenariat avec le laboratoire U1107 NeuroDOL de l’Université Clermont Auvergne, a convaincu le jury en proposant “AnaBiotics”, un projet qui vise à développer une nouvelle approche thérapeutique pour soigner les douleurs abdominales chroniques. L’INRAE de Nutrition humaine, le CCAS de la Ville de Clermont-Ferrand, et La Mutualité française Loire/Haute-Loire/Puy-de-Dôme recevront quant à eux un financement pour “RéseauAGE”, un projet de recherche sur la nutrition préventive chez les seniors.

Tisser des liens entre l’industrie, les centres de recherche et les acteurs de la formation est indispensable pour mobiliser le potentiel d’innovation de la Métropole. C’est justement la mission du pôle de compétitivité Cimes Auvergne-Rhône-Alpes qui, par l’animation de son réseau, suscite une quarantaine de projets novateurs par an.

Puisqu’ils sont des acteurs essentiels de nos sociétés, de nombreux défis reposent sur les industriels. Soucieux de répondre aux enjeux environnementaux, économiques ou sociétaux, ils doivent se montrer innovants et à l’écoute des besoins. Pour les aider à atteindre de nouveaux caps et à se développer, la métropole clermontoise peut compter sur le pôle Cimes Auvergne-Rhône-Alpes, un allié qui agit à l’échelle de notre région et de celle de Nouvelle-Aquitaine.

Initié en 2005, ce pôle de compétitivité dédié à l’ingénierie agit comme un liant entre les industries (petites et grandes entreprises), les laboratoires de recherche et les centres de formation. En mettant en relation ces acteurs de l’innovation, il favorise l’émergence d’idées novatrices qui améliorent la production. Concrètement, “lorsqu’un industriel nous fait part d’une problématique, nous lui présentons d’autres membres de notre réseau susceptibles de l’aider à trouver une solution”, précise Marie-Odile Homette, la directrice du Cimes Auvergne-Rhône-Alpes.

Résolument tourné vers l’industrie du futur, le pôle de compétitivité accompagne également ses adhérents dans leur mutation en leur présentant de nouvelles tendances ou en “rendant plus lisibles certains concepts” liés au développement durable, à la transition numérique, au bien-être des employés… Et puisqu’il a aussi un rôle de messager, le pôle Cimes Auvergne-Rhône-Alpes véhicule les attentes des industriels auprès des acteurs de la recherche et de la formation : “Quelques compétences se font rares. Nous nous efforçons donc de montrer aux établissements l’importance de former à certains métiers, comme ceux liés à la robotique par exemple.”

Preuve de l’efficacité de son réseau, le pôle Cimes Auvergne-Rhône-Alpes contribue à “environ 40 projets par an, qui se comptent chacun en millions d’euros”, explique Marie-Odile Homette qui cite pour exemple Effidence, “un des plus grands succès” sur le territoire métropolitain. Accompagnée il y a quelques années par le pôle de compétitivité, cette entreprise puydomoise a réussi à se faire une place sur le marché mondial en concevant des chariots robotisés servant d’assistants logistiques dans le milieu industriel. Un parcours plus qu’exemplaire qui encourage le pôle Cimes Auvergne-Rhône-Alpes à relever un autre de ses défis : “Faire grandir notre réseau en Europe pour mobiliser notamment plus de fonds dont pourront bénéficier nos adhérents.” •

Le Cimes poursuit son développement et devient résident à Hall 32
Partenaire à part entière de Cimes Auvergne Rhône-Alpes, Hall 32 va prochainement héberger le siège du pôle de compétitivité dans ses locaux clermontois. Impulsé par de grands acteurs économiques de la région, dont AKTO, la Banque de France, CIMES, Limagrain, et Michelin, avec le soutien du Rectorat, Hall 32 est le Centre de promotion des métiers de l’industrie. Lieu de formation professionnelle, le site de plus de 13 000 m² accueille également les entreprises sur son plateau technique pour des projets d’innovation, et dans son espace événementiel pour l’organisation de conférences, ateliers collaboratifs… Au service de l’industrialisation et de l’innovation, “Hall 32 est dans une dynamique dans laquelle on se retrouve bien”, résume Marie-Odile Homette.

Dans les secteurs de l’Économie Sociale et Solidaire (ESS) et des Industries Culturelles et Créatives (ICC), le territoire dispose d’un vivier d’entreprises dynamiques qui constituent une ressource exceptionnelle au service du développement de Clermont Auvergne Métropole. La Métropole souhaite positionner ces deux secteurs comme des vecteurs de développement économique du territoire favorisant la création d’emplois, l’innovation, la coopération et l’attractivité du territoire à travers une action publique forte.

Jeudi 23 septembre, Henri GISSELBRECHT, Vice-président de Clermont Auvergne Métropole en charge du Développement et de l’Attractivité Économiques et Marion CANALES, conseillère métropolitaine déléguée à l’Economie Sociale et Solidaire (ESS), ont rencontré les lauréats de l’appel à projets lancé début 2021 dans le but de favoriser l’émergence de projets relevant de l’ESS et des Industries Culturelles et Créatives (ICC).

En effet, aujourd’hui, notre territoire s’affirme comme un territoire reconnu pour l’innovation sociale à travers ses expérimentations sur les formes d’activités les plus résilientes (dont les tiers-lieux) et pour son Centre d’Innovation Sociale Clermont Auvergne (CISCA), entre autres. La métropole se distingue, aussi, par la vigueur des ICC sur son territoire avec certains domaines qui se démarquent particulièrement, portés par une dynamique culturelle foisonnante avec comme objectif la candidature au titre de capitale européenne de la culture.

Alors que ces deux secteurs ont été fortement impactés par la crise sanitaire induite par la pandémie, malgré le contexte et dans le cadre du plan d’urgence phase 2, la Métropole a travaillé de concert avec la Région Auvergne-Rhône-Alpes à la création d’un dispositif de soutien, en faveur de l’émergence et du développement de nouveaux projets dans ces secteurs.

Suite à un appel à projets clôturé le 31 mars, 10 structures ont été retenues, en juillet, en fonction de la viabilité économique du projet et de la structure, de l’intérêt pour le territoire, de l’innovation sociale, de l’impact environnemental et des aides déjà perçues.

L’aide métropolitaine prend la forme d’une subvention de 6 000 € par an pendant 3 ans.

Les lauréats et leur projet

 

  • Flower Coast | Production de concerts, organisation de tournées
    Projet :

    1) Créer une Maison d’Artistes à 360° au service de la création artistique et de la transmission.
    2) Renforcer leur ancrage territorial
    Contact : baptiste@flowercoast.fr

  • Kube | Organisation d’évènements et de communication par l’évènement
    Projet :
    Créer une nouvelle offre de service en proposant aux entreprises du territoire une expérience immersive : arts, nature et artisanat sous forme de rencontres de nouveaux univers et d’ateliers en partenariat avec les entreprises locales.
    Contact : david@agencekube.com

 

  • La Coulisse | Prestations techniques et intellectuelles pour le spectacle et l’évènementiel
    Projet :
    1) Conception, construction et commercialisation d’une scène mobile alimentée par les panneaux solaires.
    2) Déploiement de stations et valises de fourniture d’énergie rechargeables au solaire pour tous types de lieux ou d’événements qui souhaitent entrer dans une démarche d’économie et de transition énergétique.
    Contact : laure@la-coulisse.com

 

  • La Poule qui Pond | Edition littérature jeunesse
    Projet :
    1) Axe vente directe : accompagner l’essor de la vente en ligne et développer la boutique physique.
    2) Axe audiovisuel : développement numérique pour vendre des séries animées en partenariat avec “Comme 1 image” à Chamalières.
    Contact : valentin@lapoulequipond.fr

 

  • Biscuit Production | Acquisition, exploitation, production, diffusion d’œuvres artistiques
    Projet :
    Structurer un studio créatif avec des techniciens audiovisuels et informatiques ainsi que des créateurs afin d’élaborer, conceptualiser, expérimenter et mettre en place des solutions digitales immersives et créatives.
    Contact : lexis@biscuit-production.fr

 

  • Le Petit Carré Français | Production éco-responsable de lingettes réutilisables fabriquées sur la Métropole grâce à la réinsertion par le travail.
    Projet :
    Assumer la croissance en intégrant de nouveaux locaux, ce qui permettra de recruter et poursuivre le développement à l’international.
    Contact : lepetitcarrefrancais@gmail.com

 

  • La Coop des Dômes | Supermarché coopératif
    Projet :
    Consolider l’existant : renforcer les 2 emplois et investir un nouveau local puis, à moyen terme, ouverture d’un second point de vente.
    Contact : antoine.ferron@coopdesdomes.fr

 

  • Lee Voirien | Manifestations culturelles, créations artistiques, spectacles vivants, etc. | Mixité, diversité et inclusion
    Projet :
    Création d’une prestation supplémentaire : construction d’un jeu en plusieurs versions (enfants, adultes, entreprises, extérieurs…) pour découvrir différents types de handicap (auditif, cognitif et moteur) et leurs moyens de compensation.
    Contact : asso@leevoirien.fr

 

  • Les ami.e.s du café lecture – ACL | Promotion de l’écrit et de la lecture sous toutes ses formes, notamment par la création et l’animation d’un café lecture
    Projet :
    Développer une offre de services d’animation accessible au public extérieur de la structure.
    Contact : animation.lesaugustes@gmail.com

 

  • La Petite Réserve | Épicerie pour promouvoir les circuits courts, une consommation sobre et renforcer la cohésion territoriale
    Projet :
    Drive zéro déchet (ou livraison) pour permettre aux habitants de commander du vrac sur Internet.
    Contact : thibaut@la-petite-reserve.com

La 5e édition des Trophées des entreprises aura lieu le jeudi 9 décembre 2021. Cet évènement qui valorise les initiatives locales et le dynamisme du territoire est l’occasion pour les entreprises de développer leur réseau et leur image. Vous n’avez plus qu’un mois pour candidater !

5 catégories, 5 lauréats

La Montagne, la CCI du Puy-de-Dôme ainsi que tous les partenaires des Trophées des Entreprises (Aesio, le Crédit agricole, la chambre des métiers et de l’artisanat, Clermont Auvergne Métropole et Orange) vous invitent à présenter vos compétences, savoir-faire, savoir-être, projets, réussites et ainsi être les moteurs de la reprise. Le slogan de cette 5e édition ? « Oublier le passé, profiter du présent, agir pour l’avenir ». Que vous soyez artisan, commerçant, TPE, grand groupe, candidatez dans une des 5 catégories proposées ! Dans un premier temps, un jury composé de représentants des partenaires élira 3 nommés par catégorie, puis le 9 décembre, ce seront les votes des invités présent lors de la soirée et les votes des spectateurs du live qui décideront des 5 lauréats.

Les 5 catégories à l’honneur :

  • Elles innovent : pour les entreprises qui ont pour projet de concevoir et de mettre sur le marché des produits, des services, des process, un concept ou une idée originale
  • Elles valorisent : pour les entreprises artisanales inscrites au répertoire des métiers qui développent une dynamique particulière (appréhension des savoir-faire, des nouvelles technologies, des modes de consommation).
  • Elles s’engagent : pour les entreprises qui développent une stratégie de recherche et développement comme la mise en œuvre d’un dispositif de transition énergétique, climatique, environnemental ou de responsabilité sociale des entreprises (RSE).
  • Elles rayonnent : pour les entreprises qui se développent hors des limites du département, de la région et de nos frontières, qui mettent en œuvre des actions spécifiques pour remporter de nouveaux marchés, qui développent les compétences de leurs collaborateurs.
  • Elles se lancent : pour les entreprises crées, transmises ou reprises il y a moins de 2 ans (pérennisation de l’activité, maintien de l’emploi).
  • Un sixième trophée sera remis le 9 décembre : le « prix du public » !

Pourquoi candidater ?

Devenir lauréat des Trophées des entreprises permet de :

  • développer son réseau et son image
  • bénéficier d’un article de présentation de sa structure dans les pages économiques du Journal La Montagne
  • recevoir son film promotionnel
  • prendre la parole sur scène et remporter un smartphone connecté
  • Plus de 450 personnes seront présentes à la soirée qui aura lieu à la Maison de la Culture à Clermont-Ferrand.
Cliquez ici pour déposer votre candidature pour les Trophées des entreprises 2021
(Date de clôture des candidatures : le 15 octobre 2021)

Entrepreneurs, il ne vous reste plus qu’une poignée de jours pour répondre à l’appel à candidature HUB-IC #2 lancé par le Damier. À la clef : un accompagnement personnalisé de 8 mois pour développer votre projet et l’implanter sur le territoire métropolitain.

C’est une référence dans l’accompagnement des entreprises issues du milieu des industries culturelles et créatives sur le territoire de la Métropole. Fort de la réussite de son premier incubateur HUB-IC qui a permis à quatre nouvelles entreprises de voir le jour, le Damier a lancé cet été un nouvel appel à candidature pour sélectionner les six porteurs de projets qui constitueront la deuxième promotion de l’HUB-IC.

Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 10 septembre

Pour prétendre à cet accompagnement de 8 mois, les candidats doivent être à l’étape d’amorçage de leur projet. Ce dernier, culturel et innovant, devra apporter une solution aux utilisateurs et avoir potentiellement un impact économique sur la métropole clermontoise. Conforme aux valeurs du Damier, la future entreprise devra également respecter la coopération, l’entraide et la solidarité.
> Plus d’informations sur le règlement en cliquant ici.

Les candidatures, ouvertes jusqu’au 10 septembre, se font en ligne sur le site internet du Damier.

Huit mois pour pour faire mûrir son projet

Formations, ateliers, suivi avec un mentor… Les six futurs incubés HUB-IC #2 seront accompagnés dès le mois d’octobre par des professionnels du secteur culturel et créatif et par des adhérents du Damier, qui fédère une cinquantaine d’entreprises de la région. Ils bénéficieront aussi d’un espace de travail collectif et de temps de networking pour gagner en visibilité.

Autre point important, les candidats retenus pour l’HUB-IC #2 pourront prétendre au Fonds Métropolitain d’Innovation, un dispositif leur permettant de se consacrer exclusivement à la construction de leur projet. Porté par la Métropole, ce fonds varie entre 5.000 et 25.000 euros, sous condition de ressource.

Et si, l’hiver prochain, vous dévaliez les pistes de ski équipé d’une veste à base de canne à sucre ? Bienvenue dans le nouveau monde de la célèbre marque clermontoise Picture.

« Rider, protéger et partager », ces trois mots reflètent exactement ce qu’est Picture : une marque de vêtements de snowboard, de ski, de surf et d’outdoor, qui sans trop vouloir se prendre au sérieux, veut faire bouger les lignes. A l’heure où l’industrie textile est responsable de 8 % des émissions de carbone dans le monde et où l’urgence climatique est à son maximum, Picture la marque de vêtements outdoor biosourcés made in Clermont-Ferrand, innove encore une fois.

Installée depuis peu dans ses nouveaux locaux, à Cébazat, la PME fondée en 2008 par trois amis d’enfance passionnés de skate et de surf, vient de lancer une toute nouvelle gamme de vêtements techniques révolutionnaire, dont la veste de ski à base de canne à sucre et d’huile de ricin.  « La veste Welcome est la première veste de ski entièrement biosourcée », assure Julien Durant, l’un des trois co-fondateurs de Picture Organic Clothing.

100 % biosourcés d’ici 2025

Pour sa confection, Picture a donc eu recours à des matières premières étonnantes. « La canne à sucre utilisée est issue de déchets d’une filière existante, celui de la culture alimentaire et non textile, évitant ainsi les problèmes liés à la déforestation. Cette plante de type C4, est l’une des plantes capturant dans les sols le plus de CO2. Elle participe donc à lutter contre le réchauffement climatique », développe-t-on chez Picture. Par ailleurs, la marque a recours à l’huile de ricin qui représente en effet une alternative au pétrole.

Un premier proto a vu le jour en 2020. « Cette année, 30 % de la collection est à base de ces produits biosourcés. Et dès l’an prochain, ce seront 65% des collections », soufflent les co-fondateurs dont l’objectif est de proposer l’ensemble de ses gammes 100 % biosourcées d’ici 2025.

Picture en chiffres

  • 28,5 Millions de CA dans le monde.
  • Présent dans 42 pays
  • 65 employés
  • 1600 détaillants dans le monde
  • 340 détaillants en France et dans les DOM TOM

Accompagner les entreprises qui souhaitent améliorer leurs performances énergétiques

Clermont Auvergne Métropole souhaite mettre en œuvre des mesures opérationnelles pour accompagner les entreprises qui s’engagent à améliorer la performance énergétique de leurs bâtiments et leur permettre de concrétiser leurs projets de travaux. C’est dans ce cadre qu’elle propose un accompagnement technique et financier à la réalisation de bilans environnementaux. Pour mettre en place cet accompagnement, la Métropole lance un appel à candidature destiné aux cabinets d’audit qualifiés pour réaliser ces bilans environnementaux.

À la clé, une aide versée aux entreprises pour la réalisation des bilans environnementaux

Pour permettre à ce dispositif de se déployer en toute transparence et avec efficience, Clermont Auvergne Métropole référence des cabinets d’audit, dont les noms seront transmis aux entreprises du territoire métropolitain qui souhaitent bénéficier du dispositif. L’aide sera versée à la demande de l’entreprise bénéficiaire du dispositif directement à l’auditeur, une fois la mission de celui-ci réalisée et le rapport remis.

  • si le montant du bilan est inférieur à 3.000€, la subvention sera égale au montant facturé,
  • si le montant du bilan est supérieur à 3.000€, la subvention sera forfaitaire et d’un montant de 3.000€.

Quels sont les critères d’éligibilité pour les auditeurs ?

Le bilan environnemental sera réalisé par un prestataire (auditeur), externe à l’entreprise, qui devra répondre aux critères suivants :

  • être à jour de leur cotisations fiscales et sociales,

  • ne pas être en procédure collective,

  • avoir réalisé au minimum 3 audits énergétiques ou bilans environnementaux sur les deux dernières années dans des bâtiments professionnels.

Vous souhaitez faire partie des auditeurs référencés ?

Consultez dès maintenant toutes les modalités et téléchargez le dossier de candidature.

Depuis 1992, la société Greentech n’a cessé de grandir. Elle vient de racheter le Groupe Solactis pour former un nouveau leader des ingrédients agroalimentaires.

La société Greentech, basée au Biopôle de Clermont-Limagne, vient de frapper un grand coup ! Pionnier de la biotechnologie végétale, elle devient actionnaire majoritaire du Groupe Solactis, spécialiste français des ingrédients destinés à l’alimentation humaine et animale, actifs sur le microbiote.

Greentech aspire désormais à devenir « leader des sciences de la vie ». Ce rachat marque « une étape majeure dans le développement du portefeuille de notre société vers les ingrédients B to B, pour l’alimentation humaine et animale », précise le groupe auvergnat, qui voit ainsi « une opportunité unique de booster son offre client en prébiotiques et symbiotiques ». Pour Jean-Yves Berthon, fondateur et PDG de Greentech, « cette acquisition crée de la valeur pour notre groupe ».

49 millions d’euros de chiffre d’affaires

Greentech, fondé en 1992, est un pionnier de la biotechnologie en France. Il développe des principes actifs de haute technologie à partir de sources naturelles (mondes végétal, marin et microbien). Il est présent sur les marchés de la cosmétique, la santé, la nutrition humaine et animale, l’agronomie et l’environnement.

Après cette prise de participation, la société Solactis, basée en Île-de-France, va s’installer dans le Puy-de-Dôme, rejoignant ainsi la maison mère. « Nous sommes ravis de rejoindre Greentech, un acteur de premier plan dans les biotechnologies, et en particulier la fermentation et l’extraction, qui affiche plus de 25 ans d’expertise. Son orientation stratégique est parfaitement alignée sur nos métiers, tandis que l’expertise et les synergies technologiques et de formulations vont accélérer notre croissance », annonce Pascal Ronfard, président-fondateur de Solactis qui devient directeur général adjoint du groupe.

En 2020, Greentech a réalisé 49 millions d’euros de chiffre d’affaires et comptait 215 salariés. Il dispose de 3 filiales à l’étranger, en Allemagne, aux USA et au Brésil.