Un projet d’incubateur porté par le Damier

LE DAMIER, cluster musiques et images, élargit son périmètre de compétences pour toucher toutes les industries culturelles et créatives (ICC). À la demande de la Métropole, il se lance aussi dans l’accompagnement des porteurs de projets et espère créer, début 2020, son propre incubateur.

Ce sont les deux grandes nouveautés 2019-2020. Jusqu’à présent LE DAMIER était la référence pour les entreprises musicales et audiovisuelles. Depuis sa création, en 2011, le cluster œuvre pour le développement des entreprises adhérentes et des filières qu’il représente par la construction de nouveaux modèles économiques et collaboratifs. Il s’ouvre désormais à toutes les industries culturelles et créatives (*) du territoire et lance, pour elles, un dispositif d’accompagnement inédit.

Cette montée en compétences a été impulsée par Clermont Auvergne Métropole, l’un des principaux partenaires du Damier, dans le but « d’attirer des entreprises à forte valeur ajoutée sur le territoire métropolitain », de favoriser l’emploi et « de soutenir au mieux de nouveaux porteurs de projets de création d’entreprises sur le territoire ». Plus concrètement, il s’agit aussi « d’étudier l’opportunité de créer un programme d’incubation spécifique », explique la structure qui compte aujourd’hui 53 adhérents pour 348 emplois et représente 20 M€ de chiffre d’affaires cumulé.

Deux programmes d’accompagnement

LE DAMIER a d’ores et déjà amorcé des démarches allant dans le sens de la création d’un incubateur. Le cluster a rencontré d’autres incubateurs, sur la métropole et au-delà, pour envisager les partenariats à engager et analyser leur fonctionnement. Le lancement de ce nouveau bras armé qui interviendra, de la naissance du projet à la création de l’entreprise, pourrait se concrétiser début 2020.

En attendant, le cluster porte deux grands programmes d’accompagnement pour les projets en émergence dans le domaine des ICC et les entreprises créatives qui souhaitent aller plus loin.

Le cluster le Damier c’est…
  • La création d’espaces de collaboration entre les adhérents
  • La prospection de nouveaux marchés, un travail pour répondre collectivement aux appels d’offres et la mutualisation ses compétences
  • L’accès à des services que les adhérents ne pourraient pas financer seuls (service juridique, ingénierie financière…)
  • Le développement de la visibilité et de la reconnaissance de la filière
  • Un soutien aux démarches innovantes

+d’informations sur www.ledamier.fr

(*) Musique, audiovisuel, spectacle vivant, événementiel, communication, numérique, graphisme, design, médias, jeu vidéo, édition, patrimoine, photographie, littérature, mode et architecture

La nouvelle est tombée, fin mars, en pleine Clermont Innovation Week. Le territoire, déjà labellisé French Tech depuis 2016, devenait officiellement « Communauté French Tech » pour 3 ans. Aujourd’hui, le réseau est en ordre de bataille autour de la toute nouvelle association French Tech, présidée par Olivier Bernasson. Rencontre.

Qu’est-ce que la French Tech et qu’apporte-t-elle aux territoires labellisés ?

La French Tech, c’est l’appellation de l’écosystème d’innovation. Il s’agit de tout l’écosystème constitué par les startups, c’est-à-dire les entreprises qui ont vocation à grossir rapidement, les PME de demain. La French Tech, c’est donc un enjeu fort pour les territoires car elle est un formidable gisement d’emplois. Au-delà des startups, elle fédère et rassemble de façon formelle toutes les personnes qui font grossir et qui vivifient ce réseau d’innovation, comme les acteurs du financement, les incubateurs, les collectivités, les universités…

Qu’est-ce que cette nouvelle labellisation « Communauté French Tech » change concrètement pour la métropole clermontoise ?

D’abord, le French Tech n’est plus portée par la Métropole, avec les entrepreneurs, mais par les entrepreneurs, avec la Métropole. C’est la grande nouveauté de cette V2. Le périmètre d’actions a également été élargi. Maintenant, nous allons de Vichy, au nord, jusqu’à Issoire, au sud et nous intégrons Riom. Cette nouvelle labellisation -et la création de l’association qui va avec- représente donc des startups et des acteurs supplémentaires. Nous espérons aussi qu’elle permettra l’implantation de nouvelles entreprises. La nouvelle labellisation implique beaucoup plus d’entrepreneurs. Nous avons vraiment réussi à rassembler autour de notre candidature. Ce label pour 3 ans nous permet déjà et va nous permettre de fédérer des gens qui ont une vraie expérience, qui rayonnent à l’international. Des ambassadeurs du territoire.

Quels sont les objectifs et projets de la nouvelle association French Tech ?

Nous allons travailler sur trois axes forts. « Structurer et animer l’écosystème local », par exemple avec un outil de cartographie et de suivi des startups, pour avoir une vraie connaissance du territoire. Nous souhaitons également « favoriser la croissance des startups et créer des conditions d’accueil optimales », mais aussi « atteindre des finalités sociétales vertueuses », c’est-à-dire faire émerger des projets avec des préoccupations environnementales et sociales. Nous allons aussi lancer prochainement un fond d’investissement French Tech, un outil d’aide au développement commun à Clermont et Saint-Étienne, qui interviendra dans le capital des startups et dans lequel les deux collectivités vont abonder. Ce sera d’ailleurs le premier fonds de ce type en France. Il permettra de conserver nos startups et d’en attirer de nouvelles. L’association French Tech est tout juste créée. Dans les prochains jours elle intégrera les locaux de Turing 22, nous aurons donc un lieu d’accueil physique, en restant, bien sûr, adossés à la Métropole. Il nous faut maintenant décider des modalités d’adhésion et trouver un mode de fonctionnement souple. D’ici l’automne, nous aimerions atteindre les 150 membres.

Le site gastronomique Atabula vient de sortir son classement des villes françaises où l’on mange le mieux au restaurant. Petite surprise du chef, la métropole clermontoise se hisse en 5e position. Et avec la forme s’il vous plaît ! Puisqu’elle gagne dix places par rapport au dernier classement.

Nouvelle récompense pour la capitale auvergnate ! Reconnue pour sa qualité de vie, Clermont-Ferrand l’est également pour celle de ses tables et bistrots… La cité Michelin se hisse en 5e position du classement Atabula des villes françaises où l’on mange le mieux au restaurant en 2019, juste derrière Paris, Lyon, Bordeaux et Nice.

+ infos sur www.clermontmetropole.eu

Le Réseau Entreprendre Auvergne mettait ses nouveaux lauréats à l’honneur ce mardi 11 juin, à l’Opéra-théâtre de Clermont-Ferrand. Les 23 créateurs ou repreneurs d’entreprises vont bénéficier d’un accompagnement humain et financier.

« Pour créer de l’emploi, créons des employeurs », c’est la devise du Réseau Entreprendre Auvergne qui regroupe plusieurs associations de chefs d’entreprises auvergnats bénévoles. Leur objectif ? Soutenir les créateurs et repreneurs d’entreprises à fort potentiel, porteuses de richesses et d’emplois sur le territoire.

Ce mardi, le réseau qui couvre quatre départements et compte 140 adhérents, organisait une fête pour mettre en avant ses 23 nouveaux lauréats (pour 22 projets), à l’Opéra-théâtre de Clermont-Ferrand. Répartis en deux promotions, « Les compétiteurs » et « Les combattants », ces chefs d’entreprises ont permis la création ou la sauvegarde de 164 emplois sur la région.

Soutien humain et financier

Sur la durée, ils seront accompagnés à titre individuel par un chef d’entreprise du réseau, mais aussi collectivement, grâce à des temps d’échange entre lauréats d’une même promotion animé par un membre du réseau et complété par une sensibilisation aux sujets qui touchent l’entreprise. Ce soutien humain est complété par un appui financier sous forme de prêts d’honneur. Pour ces deux nouvelles promotions, le Réseau Entreprendre Auvergne s’est engagé à hauteur de 952 000 €.

Depuis sa création, Réseau Entreprendre Auvergne contribue grandement à la dynamique économique du territoire. Pour cela, il est soutenu par Clermont Auvergne Métropole, qui lui accorde 25 000 € de subvention annuelle. Le réseau a déjà accompagné 184 projets de création et reprise d’entreprise, contribué à la création de 880 emplois et à la sauvegarde de 1 230 emplois. Depuis 2004, il a octroyé près de 6M€ de prêts

+infos sur : www.reseau-entreprendre-auvergne.fr

Promotion « Les combattants »

Claire DE LA FORGE, création du COURS SAINT LOUIS
Frédéric ÉMILE, création du CINÉMA ARCADIA
Philippe GEERAERT, reprise de RC PRO
Aurélie LAURENT, création d’AGITAFORM BRIOUDE
Olivier MAITRIAS, reprise de HOM GF3e
Raphaël MENEBOO, création du STUDIO SANTÉ 03
Julien PINAULT, création de VOLET9
Philippe RIGAUD, reprise de MÉCARIOM
Philippe SOULIER, reprise d’EMG ISOLATION
Olivier SZCZESNY, création d’OSITEK
Thierry YALAMAS, reprise de PHIMECA ENGINEERING
Alexandre VERMEERSCH, création de la BRASSERIE 360°

Promotion « Les compétiteurs »

Rozenn et Aurélien ANDRÉ, reprise de SAUDIAL
Joël BERNARDO, reprise de VILLETTES PLASTIQUES
Stéphane BERTHAT, reprise de SERMIB
Eric CLUZEL, reprise de CTI CARROSSERIE
Cécile COLLINEAU, reprise de LACOMBAT
Loïc DOUIS, création de C.M.G.O
Jules GROUFFAL, création d’ATTILA VICHY
Laurent SERVIERE, reprise d’ARSOTEC PYROTECHNIE
Claude TERNUS, création de M2S
Jérémie WOJTYCZKA, reprise de H&H – UN AIR DE VOYAG

Un club de recherche d’emploi s’est formé ce mois-ci dans le cadre de la mission Emploi et Diversité, initiée par le PLIE de la Métropole et assurée par Job’agglo, associé à l’ASM omnisports et à La Cravate Solidaire. Pendant 15 jours et à travers plusieurs activités innovantes, 12 femmes ont repris, pas à pas, confiance et motivation dans leur recherche d’emploi.

Se serrer les coudes. Remobiliser l’équipe. Dépasser ses limites. Le sport peut avoir des vertus bénéfiques dans une démarche de retour à l’emploi. C’est en tout cas la philosophie de la mission Emploi et Diversité, initiée par le Plan local pour l’insertion et l’emploi (PLIE) de la Métropole et coordonnée par Job’agglo. Créée en 2012 pour favoriser les rencontres entre les demandeurs d’emploi et les entreprises, elle met en place des actions innovantes, principalement à destination des personnes habitant les quartiers prioritaires de la ville.

Les rencontres sport en emploi, en partenariat avec l’ASM omnisports, font partie de ces dispositifs hors des sentiers battus qui favorisent le retour à une activité professionnelle. Ce lundi 27 mai, dans les locaux de l’ASM, 12 femmes et leurs conseillers ont pratiqué de la boxe et du judo, ensemble. Des activités qui peuvent sembler insolites dans le cadre d’un processus de retour à l’emploi, mais qui permettent clairement de « redynamiser la recherche et de remobiliser les participantes », selon Laetitia Cusset, référente PLIE et chargée de mission Emploi et diversité. « C’est un accompagnement hors du bureau, une manière différente d’aborder les choses… »

Job dating

Dans la foulée de ces activités sportives, les participantes étaient invitées à participer à un job dating qui a rassemblé sept entreprises et agences d’intérim (*) aux secteurs d’activités variés. À la clé : « des contrats de travail ou d’intérim », mais aussi une formidable opportunité de faire avancer son projet professionnel et de reprendre confiance. Car il s’agit bien de l’objectif premier de ces « clubs de recherche d’emploi » formés par la mission Emploi et Diversité.

Cette journée venait ainsi clôturer 15 jours d’accompagnement renforcé. « Les 12 femmes du club ont notamment été suivies par la Cravate solidaire ou le salon de beauté Joséphine », deux structures qui aident les demandeurs d’emploi et les personnes en situation de précarité à se remettre sur les rails. « À retrouver confiance en elles », justement. « Ce sont des femmes qui, pour la plupart, étaient ancrées dans leur vie de famille et dans leur recherche d’emploi. Pendant ces 15 jours, elles se sont ouvertes, ont échangé sur leurs parcours de vie. Elles ont eu des moments pour elles. »

Visites d’entreprises
Pour encourager le retour à l’emploi, la mission Emploi et Diversité organise également des visites d’entreprises. Prochaine en date : le 20 juin, chez AVEM qui recrute des télé-conseillers.

(*) Crit, Adecco, O2, le Novotel, le CCAS, Medicoop, Auchan Clermont-Ferrand

Clermont Auvergne Métropole organisait, ce mardi 9 avril à Polydome, sa 4e conférence économique et sociale, #Invest in Clermont, sur le thème des industries culturelles et créatives (ICC). L’événement, qui a rassemblé près de 300 personnes, clôturait la 2e  Clermont Innovation Week.

C’est un secteur encore « méconnu », mais un secteur d’avenir. Au cœur des discussions, ce mardi, lors de la 4e conférence économique et sociale de Clermont Auvergne Métropole : les industries culturelles et créatives. « Des entreprises qui apportent des changements radicaux dans l’économie », selon Christina Koch. La responsable des projets européens dans le secteur créatif de l’Agence économique d’Autriche en veut pour preuve : « les personnes qui créent dans cette industrie ont un taux de croissance supérieur aux autres. Ce sont des entreprises souvent bien plus résistantes ».

En France, les ICC représenteraient ainsi 109 milliard d’euros de valeur ajoutée. « C’est plus que les secteurs de la construction et de l’hôtellerie-restauration en part de PIB », explique Isabelle Ginestet, grand témoin de ce nouveau rendez-vous économique et social. À la tête du pôle industries créatives de BPI France depuis 2012, elle a développé une offre de fonds pour les indépendants. Car, si ce secteur est florissant, « l’accès aux financements » reste son « principal défi », pour Christina Koch. Ces entreprises dans le domaine de l’art, de l’artisanat, de la musique, de l’image, des médias, etc ont une production plutôt « intangible ». Un frein assez net pour les potentiels financeurs.

Dans la métropole clermontoise -12e métropole de France en la matière, comme l’a relevé le président Olivier Bianchi dans son introduction- on a bien compris que ces structures, qui grandissent souvent sur la base d’une histoire humaine, sont des pépites pour le développement du territoire. À l’échelle métropolitaine, elles sont 2 614 et représentent 620 millions d’euros de chiffres d’affaires. Aujourd’hui, leur accompagnement renforcé semble payer. Le journal Le Point, par exemple, hisse la métropole en 3e position dans son classement des villes françaises créatives et relève l’ascension fulgurante de la capitale auvergnate.

« On peut venir de Clermont et devenir un leader mondial »

Cette croissance significative, le territoire la doit clairement à ses manifestations de renommée internationale, comme le festival du court métrage, ou ses success-stories à l’auvergnate, véritables fers de lance du secteur culturel et créatif. « On peut venir de Clermont et devenir un leader mondial ». C’est en tous cas la position défendue par Sébastien Deguy, fondeur d’Allegorithmic, leader du texturing 3D, dans son intervention vidéo, ce mardi.

Terre fertile pour l’innovation culturelle et créative, la métropole et ses partenaires, comme le cluster Le Damier -qui était présent pour cette 4e conférence- ont su fédérer cet écosystème et encourager les synergies. Des exemples de partenariats forts illustrent parfaitement cela (lire ci-dessous). Et montrent à quel point le lien entre les entreprises est la clé de la réussite et du développement. Sans doute encore plus dans un secteur culturel et créatif en plein essor.

Deux histoires, deux réussites

Tout est parti d’un garage dans lequel des copains « bricolaient » leurs skates. Dix ans plus tard, ces amitiés fortes ont donné naissance à la marque au sapin, Picture Organic Clothing, et à la Riot House production, qui réalise sa communication. Très implantées sur le territoire, ces « deux boîtes, très sérieuses, ne se prennent pas au sérieux », d’après leurs représentants, Vincent André et Thomas Gutirrez, qui sont intervenus ensemble sur cette conférence économique et sociale. Deux entreprises locales « aux valeurs communes », qui ont compris que « travailler avec une société toute proche » est une solution « plus fiable ».

C’est dans ce même esprit qu’est né CorailArtefact, également présenté ce mardi soir. Un projet qui n’aurait pas pu voir le jour sans l’association HS_Projets, à l’origine du Festival International des Textiles Extra ordinaires (FITE). L’idée ? « Des points de dentelle pour sauver les récifs de corail ». Un pari -pas si fou- qu’a fait l’artiste Jérémy Gobé, en collaboration avec la scientifique Isabelle Domart-Coulon et Rolland Arnaud de la Scop Fontanille, basée au Puy-en-Velay. Aujourd’hui, CorailArtefact est un fonds de dotation pour développer les recherches artistiques, scientifiques et industrielles et permettre le développement de cette dentelle inédite.

Nouvelle récompense, nouveau nom, nouveaux projets… Déjà labellisé French Tech depuis 2016 au sein du réseau Clean Tech Mobility, le territoire entre dans la seconde phase du processus !

French Tech, acte 2. L’annonce officielle a été faite par Cédric O, Secrétaire d’État chargé du numérique et Kat Borlongan, directrice de la Mission French Tech, mercredi 3 avril. À nouveau choisi aux côtés d’une centaine d’autres territoires (lire ci-dessous), Clermont Auvergne repart pour 3 ans renouvelables et devient « Communauté French Tech ».

Cette distinction, dont l’annonce tombe en pleine Clermont Innovation Week, permettra à l’écosystème de se structurer encore plus et de grandir pour peser encore plus au niveau international. Elle permettra, aussi, à la communauté de startups d’élargir son champ d’intervention et son périmètre d’actions car –outre Clermont Auvergne Métropole qui était déjà à l’origine de la première candidature– les collectivités Vichy Communauté et Riom Limagne et Volcans ont rejoint l’aventure.

« Définir une stratégie »

Dans les prochains jours, la nouvelle gouvernance de la Communauté French Tech, davantage centrée sur les startups, aura pour mission de « définir la stratégie, la feuille de route et le portefeuille de projets et coopérer avec les facilitateurs locaux pour mettre en œuvre les actions », précise la Mission French Tech.

Pour soutenir ces projets, la Mission lancera très prochainement le « French Tech Community Fund ». Un fonds, dans lequel l’État injecte 2 M€, destiné à cofinancer les initiatives d’envergure (événements, outils, actions de communication, campagnes marketing), « dans une logique d’investissement et avec un effet levier sur les financements privés ».

La nouvelle labellisation, c’est…

13 Capitales French Tech
38 Communautés French Tech en France, dont Clermont Auvergne
48 Communautés French Tech à l’international

Vulcania est le lieu idéal pour tout savoir du monde des volcans et des phénomènes de la planète Terre, et pour vivre une journée d’aventures en famille ou entre amis. C’est donc tout naturellement que les personnages de l’Explorateur et du Professeur Yapadrisk inviteront cette année les visiteurs à partir en exploration pour faire le plein d’Emotions et étancher leur soif de Découvertes !

L’exposition Chaîne des Puys a été réaménagée pour mieux comprendre le caractère unique de l’ensemble inscrit en juillet dernier au patrimoine mondial de l’UNESCO. Les visiteurs auront également le plaisir de découvrir 2 nouveautés à Vulcania cette année :

  • Le film Dans les yeux de Thomas Pesquet avec la voix de Marion Cotillard, vous fera vivre un moment en apesanteur sur la préparation et les 6 mois de vie du célèbre astronaute français dans la station ISS. Le film sera projeté sur l’un des plus grands écrans d’Europe (415m²).
  • Le spectacle Volcano Drones conçu en partenariat avec le Laboratoire Magmas et Volcans de Clermont-Ferrand et Dronisos, témoigne de l’aide qu’apportent les drones aux volcanologues sur le terrain, mais ces assistants technologiques peuvent également réserver quelques surprises et assurer le spectacle !

Dès le début de saison, le Défi des Volcans accompagnera les visiteurs pendant leur journée sur le parc avec des animations et le spectacle Expériences c’est Show ! Il sera proposé tous les jours du 6 avril au 5 mai, puis tous les week-ends et jours fériés jusqu’au 30 juin. Les participants pourront ainsi tester leurs connaissances et participer à différentes épreuves sur l’application du parc afin de peut-être gagner les cadeaux mis en jeu chaque jour de défi.

Enfin, le parc proposera de nombreuses surprises aux visiteurs tout au long de la saison comme par exemple une chasse aux œufs à Pâques (les 20, 21 et 22 avril), un week-end avec le célèbre Youtuber Experiment Boy (les 11 et 12 mai) et d’autres animations à découvrir à différents moments de l’année…

Dans son palmarès annuel, la fédération Procos, met à l’honneur les cœurs de ville les plus actifs en faveur de leurs commerces. Elle distingue les meilleurs centres-villes de France, mais aussi ceux qui évoluent le mieux. Cette année, elle classe le centre-ville de Clermont-Ferrand en tête des meilleures évolutions dans la catégorie des métropoles.

Nouvelle récompense pour le cœur métropolitain. Le centre-ville de Clermont-Ferrand est présenté comme la meilleure évolution 2019 du palmarès Procos parmi les 20 plus grandes métropoles de France. La fédération du commerce spécialisé récompense une ville qui, selon ses études, « ne manque pas d’atouts sur le plan de l’attractivité économique, culturelle, universitaire et marchande ».

Pour réaliser son classement, Procos a analysé de nombreux critères qui se répartissent en quatre thématiques principales : l’évolution de la commercialité du centre-ville, celle des performances des enseignes, celle de la zone de chalandise et celle de l’activité économique. Dans son édition 2019, la fédération utilise pour la première fois les données d’évolution des entrées dans les magasins de l’Observatoire Procos/Stackr.

Les chiffres d’affaires des enseignes en progression

Les chiffres qu’elle révèle sur le centre de la capitale auvergnate parlent d’eux-mêmes. Le taux de vacance commerciale est passé de 9,1 % en 2015, à 7,7 % en 2018. Comme partout, les entrées magasins ont fortement diminué entre 2013 et 2015. Mais ont tendance à se stabiliser depuis. Les chiffres d’affaires des enseignes, eux, progressent à + 0,4 % par an.

C’est notamment ce qui explique la pole position de Clermont dans un contexte national globalement difficile pour le commerce. « La prise de conscience est effective dans de nombreux centres-villes et des actions d’observation et de revitalisation sont d’ores et déjà déployées à l’échelle locale », relève le palmarès Procos en citant notamment en exemple « la ville de Clermont-Ferrand qui mesure, via la Chambre de Commerce et d’Industrie, les évolutions des chiffres d’affaires des commerçants de centre-ville et de périphérie ».