Une conciergerie pour simplifier le quotidien en pépinière d’entreprises

Les pépinières d’entreprises Claret et Pascalis gérées par Clermont Auvergne Métropole profitent désormais des services de la Minut’Rit, une conciergerie franchisée installée à Clermont-Ferrand depuis 2018. Ses missions ? Faciliter la vie des jeunes entrepreneurs en réalisant des tâches du quotidien à leur place.

Repassage, livraison de paniers bio, garde d’enfant ou même coach sportif… La Minut’Rit, société de service auprès des entreprises née au Havre, facilite la vie des salariés débordés en réalisant des tâches du quotidien à leur place. Implantée depuis 2018 à Clermont-Ferrand, la société de conciergerie a déjà conquis quelques grandes entreprises locales et aide aujourd’hui près de 2 000 salariés.

Depuis quelques jours, les pépinières d’entreprises Claret et Pascalis de Clermont Auvergne Métropole profitent également de cette nouvelle offre. La collectivité a choisi de rejoindre l’aventure pour répondre aux besoins des entrepreneurs qu’elle héberge, en favorisant l’équilibre entre leur vie professionnelle et leur vie privée. Inauguré fin novembre, le nouveau service va permettre de renforcer l’attractivité des deux équipements dédiés aux jeunes entreprises, mais surtout de simplifier le quotidien des locataires et de leurs collaborateurs, en leur donnant accès à un ensemble de biens et de services livrés directement sur leur lieu de travail ou à domicile.

Circuits-courts et développement durable

Pour venir en aide aux salariés, « la Minut’Rit Auvergne s’appuie sur un réseau de prestataires composé en grande majorité de producteurs locaux privilégiant les circuits courts et sélectionnés pour la qualité de leur travail, leur efficacité et leur engagement dans le développement durable », soulignent les gérantes Catherine Vaisse et Isabelle Prévot. Locale et connectée, la conciergerie s’adresse aussi bien aux TPE-PME qu’aux grands groupes, associations et collectivités locales, via des permanences assurées sur site. Bien installée dans la métropole, elle entend désormais rayonner sur l’ensemble de l’Auvergne.

+contacts :
Isabelle Prévot au 06 80 25 31 72 ou Catherine Vaisse au 06 83 86 60 91.
Email : auvergne@laminutrit.fr / www.laminutrit.fr/contact-auvergne.htm

CoCoShaker lance son 5ème appel à candidatures destiné aux entrepreneurs sociaux souhaitant développer leurs projets sur le territoire Auvergne-Rhône-Alpes. Les candidatures sont ouvertes du 1er octobre au 30 novembre.

CoCoShaker est un incubateur d’entrepreneuriat social, conçu spécifiquement pour accompagner, en région Auvergne-Rhône-Alpes, les personnes qui veulent créer une entreprise tout en répondant à un besoin peu ou pas résolu sur la plan social et/ou environnemental.

À travers son programme d’incubation de 10 mois, CoCoShaker apporte un accompagnement complet à travers une vingtaine d’ateliers de groupe, un accompagnement stratégique individuel des porteurs de projets, des apprentissages aux méthodes collaboratives, une mise en réseau et de la visibilité grâce à différents événements sur le territoire.

Cette année, Cocoshaker élargit son champ d’action et accompagne, en plus des projets d’entrepreneuriat social et/ou environnemental, des projets répondant aux enjeux spécifiques de l’économie circulaire. L’offre d’incubation est donc également ouverte aux porteurs de projets d’économie circulaire du territoire. Plus de diversité dans les projets sera aussi synonyme de nouvelles énergies et de nouvelles synergies ! Cet appel à candidatures s’adresse à toute équipe ou porteur de projets qui met son impact social au cœur de sa mission d’entreprise.

Si vous faites partie de l’un d’eux, téléchargez le dossier de candidature !

Cette année, prix PEPITE qui récompense l’entreprenariat étudiant a distingué quatre Auvergnats, dont deux étudiants de l’école de supérieure de commerce de Clermont-Ferrand. Ils font partie des 19 lauréats régionaux en lice pour le titre de champion.

Lancé par le Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’innovation, en partenariat avec Bpifrance, le prix PEPITE récompense chaque année des étudiants entrepreneurs pour soutenir la création d’entreprises innovantes et développer des projets émergeants. Localement, il est porté par l’école Sigma pour le compte de l’Université Clermont Auvergne.

Cette année, quatre auvergnats, dont deux étudiants de l’ESC de Clermont-Ferrand, figurent parmi les 19 lauréats régionaux. Guillaume Gasparin, créateur de Vélokit, et Arnaud Lefrant, fondateur de Kick and Link, se sont distingués pour leurs projets novateurs. Ils sont en lice aux côtés de Matthieu Gicquel et Rémi Munier, deux jeunes diplômés de l’école nationale du verre (le lycée Jean-Monnet d’Yzeure), pour le titre de champion. Les résultats seront connus ce jeudi 10 octobre, lors du salon BPI Inno Generation, à Paris. Le gagnant se verra attribuer une bourse de 10 000 € pour développer son projet.

Zoom sur les 4 lauréats auvergnats

  • Vélokit, créé par Guillaume Gasparin, est une solution innovante permettant de transformer vos vieux vélos en vélos électriques. Ce kit, qui comprend notamment une batterie portative et une roue, s’installe en seulement 30 minutes et se distingue par son look rétro et son prix particulièrement attractif.
  • Kick and Link, c’est l’application web que tous les clubs de rugby en mal de joueurs vont s’arracher. Pensé par Arnaud Lefrant, cette plateforme met en relation les associations sportives et les joueurs ou entraîneurs à la recherche de nouvelles opportunités. Elle valorise également le rugby féminin et le rugby à VII et à XIII.
  • Matthieu Gicquel travaille le verre de manière authentique et durable. Influencé par le mouvement japonais Wabi-Sabi, il optimise les procédés afin de proposer un matériau plus brut, qui se rapproche du minéral, dans le domaine du mobilier sur mesure et des objets fonctionnels.
  • Rémi Munier, jeune artiste, concepteur industriel et designer thinking, a développé un circuit de recyclage du verre de couleur dans les ateliers d’artisanat, mis en place à l’école nationale du verre, le lycée Jean-Monnet d’Yzeure. Grâce à ce circuit, il permet aux étudiants et à l’établissement de recycler la quasi-totalité du verre de couleur qui était auparavant enterré.

Clermont Auvergne Métropole souhaite élaborer un programme de requalification de la zone d’activité du Brézet, dans le but de renforcer l’attractivité de cette zone clé.
Il s’agit d’améliorer la qualité de vie et l’offre de services de la zone, afin de permettre aux entreprises de se développer.

Clermont Auvergne Métropole et l’association Réflexe Brézet souhaitent accompagner au mieux les entreprises de la zone d’activités, afin que les évolutions à venir du site puissent intégrer leurs besoins, contraintes et projets.
C’est pourquoi la métropole lance, du 28 octobre au 15 novembre inclus, une enquête auprès des entreprises, qui a vocation à apprécier finement les attentes, notamment en termes de foncier, d’immobilier et de services. Ces éléments viendront nourrir la réflexion engagée et les actions opérationnelles que mise en œuvre.

Le groupement EGIS / INTERLAND, mandaté pour réaliser ce recensement, sollicitera bientôt les entreprise de la zone pour réaliser cette enquête téléphonique.
Les données collectées n’ont pas de caractère commercial, resteront strictement confidentielles et ne feront l’objet.

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Cette année, la métropole clermontoise se place à la 9e position du palmarès annuel du magazine l’Express qui salue les villes françaises où il fait bon vivre. Dans sa région, le sud-est, elle rafle la mise et se hisse en tête du classement, détrônant ainsi les cités alpines ou méditerranéennes.

La capitale auvergnate prend une nouvelle fois la lumière grâce à sa douceur de vie. C’est le magazine l’Express qui le révèle cette année dans son classement des cités où il fait bon vivre. Avec son honorable 9e place, Clermont-Ferrand est la seule cité du sud-est à figurer dans le top 10 national. Mais elle se hisse surtout en 1ere position des villes de sa région pour sa qualité de vie, en 5e position pour entreprendre et 6e pour travailler !

Dans ce classement devenu référence, 100 agglomérations françaises ont été passées en revue selon 60 indicateurs, comme le dynamisme, l’emploi ou l’environnement. Le magazine y pointe à nouveau la forte tendance qu’ont les villes de tailles moyennes, dont Clermont-Ferrand, à revenir sur le devant de la scène. Notamment grâce à un immobilier encore accessible et à leurs infrastructures performantes.

L’engouement pour l’Auvergne

Mais ce qui est encore plus frappant, c’est sans doute l’engouement pour la cité auvergnate face aux grandes villes méditerranéennes ou alpines. Le magazine l’explique par ses excellents résultats « dans bien des domaines, comme la sécurité, la qualité de l’air ou l’efficacité des transports urbains. »

Clermont-Ferrand, ville d’avenir, donc ? C’est en tout cas ce que laissent penser les différents indicateurs 2019. Pour mémoire, cette année, la métropole clermontoise se hisse en 5e position du classement Atabula des villes françaises où l’on mange le mieux au restaurant ; son centre-ville est présenté comme « la meilleure évolution » du palmarès Procos, parmi les 20 plus grandes métropoles de France ; et son université (l’UCA) fait partie des 34 établissements français classés parmi les meilleurs universités du monde selon le Times Higher Education.

Initiative Clermont Métropole, association qui soutient la création d’entreprises, fêtait ses 20 ans ce mercredi 25 septembre, à l’Opéra-théâtre de Clermont-Ferrand. Louis Schweitzer, Président d’Initiative France et ancien patron de Renault a fait le déplacement jusqu’à Clermont-Ferrand pour découvrir les belles réussites du territoire.

Depuis sa création, en 1999, Initiative Clermont Métropole, adhérent au réseau Initiative France, a accompagné 1 414 entreprises sur la métropole. Chaque année, l’association suit environ 100 dossiers et accorde un total de 900 000 € en prêts d’honneur à des porteurs de projets « dont 67 % sont demandeurs d’emploi », précise Daniel Farges, son directeur.

Ce mercredi, la structure hébergée dans une pépinière d’entreprises de la Métropole à La Pardieu, fêtait son 20e anniversaire à l’Opéra-théâtre de Clermont-Ferrand. Pour l’événement, le Président d’Initiative France, Louis Schweitzer, a fait le déplacement. L’après-midi, l’ancien patron de Renault a découvert de belles réussites du territoire. Des entreprises accompagnées par Initiative Clermont Métropole, lors d’une visite du centre-ville de Clermont. D’autres success-stories à l’auvergnate ont été mises à l’honneur, le soir.

Jusqu’à 25 000 € à taux zéro

L’association, dont « l’objet est l’accueil, l’accompagnement et le développement des entreprises sur la métropole », avait été créée à l’origine, dans le cadre du Plan local pour l’insertion et l’emploi (PLIE) de la collectivité. Aujourd’hui, il aide tous les porteurs de projets, sans conditions, si ce n’est « la viabilité financière » des futures sociétés. « Nous réalisons une expertise financière et réunissons ensuite le comité d’agrément des prêts. » Un soutien financier d’Initiative Clermont Métropole peut aller jusqu’à 25 000 €, à taux zéro.

L’association s’occupe aussi du suivi des entreprises et leurs propose un accompagnement sous forme de parrainage. C’est d’ailleurs dans ce cadre qu’elle a signé, ce mercredi, une convention avec le réseau Femmes chefs d’entreprise du Puy-de-Dôme. En 20 ans, elle aura contribué à la création de près de 5 000 emplois. Le Groupe Oviance, la plus grosse entreprise accompagnée, est notamment passé de 1 à 1200 salariés.

Crédits photos : Drozevent et Joël Damase

Clermont Auvergne Métropole et l’association Initiative Auvergne Innovation et Transmission (IAIT) ont présenté, le 26 septembre, aux côtés de la CCIM 63, le Fonds Métropolitain pour l’Innovation. Il permet aux futurs créateurs, accompagnés par un incubateur local, de se consacrer exclusivement à la construction du projet pour créer les bases solides d’une entreprise destinée à se développer sur le territoire.

Pour qui ?

  • Personnes physiques ayant un projet de création d’une entreprise proposant une offre innovante

Pour quoi ?

  • Pouvoir se consacrer entièrement à son projet grâce à une bourse (cf.modalités)
  • Faire face aux premiers frais pour porter le projet (équipements, missions,…)

Critères d’éligibilité

  • Pour le porteur de projet, être formellement accompagné par un incubateur partenaire du dispositif (Clermont Auvergne Inovation, Squarelab, Cocoshaker, Hub-ic, Alter’incub)
  • S’engager à temps plein sur le projet de création et ne pas exercer d’activité par ailleurs (professionnelle ou formation en cours)
  • S’engager à créer son entreprise sur le territoire de Clermont Auvergne Métropole incluant le Biopole Clermont Limagne

Modalités

  • Aide attribuée sous condition de ressource et selon les critères d’éligibilités définis (règlement disponible sur demande)
Cas 1 Cas 2 Cas 3
Nombre de porteurs 1 ou + 1 2 ou +
Ressources Avec ressources Sans ressources (ou indemnités chômage en déduction)
Montant maximum de la bourse / 15 000 € 20 000 €
Montant maximum pour la prise en charge d’équipements et de frais de mission 5 000 €
Montant maximum de l’aide 5 000 € 20 000 € 25 000 €

Contact pour information et dépôt de dossier

Manon Spalla
Tel. 04 73 60 46 66
Mail. Manon.spalla@puy-de-dome.cci.fr

Le Plan local pour l’insertion et l’emploi de Clermont Auvergne Métropole organisait son séminaire annuel ce mardi 9 juillet. Une rencontre entre tous les acteurs du territoire qui aident, au quotidien, des centaines de personnes ayant perdu pied à reprendre une activité.

Chaque année, le PLIE de la Métropole aide des centaines de personnes à se réinsérer dans l’emploi. Et dans la vie, tout simplement. En 2018, il a accompagné 1 620 bénéficiaires à travers des actions économiques, sociales et solidaires. La même année, 5 064 jeunes ont été suivis par les deux Missions locales de la métropole et 213 585 heures de travail ont pu être réalisées par des personnes éloignées de l’emploi dans le cadre de clauses sociales dans les marchés publics.

La force de ce service métropolitain à vocation sociale et économique, ce sont ses collaborations, sa présence quotidienne sur le terrain et au sein de plusieurs structures du territoire. Des partenaires portant les mêmes valeurs et le même objectif. Favoriser l’emploi et l’insertion professionnelle de ces habitants qui sont sortis des rails sans jamais vraiment pouvoir raccrocher les wagons.

Rencontre hors les murs

Ce réseau de professionnels de l’insertion, piloté par le PLIE, se réunit tous les ans lors d’un grand séminaire. Un moyen d’échanger sur les pratiques de chacun et de mieux comprendre l’action de la collectivité et de ses partenaires. Ce mardi 9 juillet, le format du rendez-vous était plutôt inédit. Le séminaire du PLIE se tenait hors les murs, sous forme de rallye, directement au contact des acteurs et des publics accompagnés.

Une quarantaine de personnes s’est donc rendue sur les différents sites (*). De quoi mieux se rendre compte de la diversité des structures et des champs d’actions possibles pour accompagner les bénéficiaires dans leur remise à niveau sociale, sanitaire, scolaire, puis professionnelle. Pour qu’ils trouvent enfin leur voie.

(*) Le salon de beauté Joséphine ; le chantier d’insertion du livre, l’association Tous deux roues ; le Relais santé ; la Cravate solidaire ; le chantier d’insertion entretien des rivières ; les Mains ouvertes ; le chantier d’insertion du costume ; le chantier d’une entreprise répondant aux clauses sociales et le chantier d’insertion C.vélo

Les pôles de compétitivité Céréales Vallée-Nutrivita, basé sur la métropole clermontoise, et Vegepolys, basé à Angers, ont fusionné fin juin, pour donner naissance à Vegepolys Vallée, un pôle mondial du végétal présidé par une céréalière auvergnate pour les trois années à venir.

L’union fait la force. Et c’est encore plus vrai lorsque l’on parle de pôle de compétitivité. Fin juin, deux poids lourds du végétal se sont dit oui pour devenir Vegepolys Vallée, un pôle de compétitivité au rayonnement international. Il s’agit du pôle clermontois Céréales Vallée-Nutrivita, axé sur les grandes cultures, et de son homologue angevin, Végépolys, plutôt tourné vers les cultures spécialisées.

Cette nouvelle entité, créée pour peser davantage au niveau mondial, fédère aujourd’hui 500 acteurs des filières végétales. Des entreprises (80% de PME), des centres de recherche et de formation, des syndicats professionnels et organismes de développement et des chambres consulaires.

Présidé par une céréalière de la Limagne

Pour les trois prochaines années, elle sera présidée par Séverine Darsonville, céréalière de la Limagne et membre du conseil d’administration de Limagrain. Son siège social restera dans le Maine-et-Loire, mais le pôle de compétitivité dispose tout de même d’une agence à Clermont-Ferrand, et des antennes régionales à Saint-Pol-de-Léon et Orléans, ainsi que des bureaux à Nantes, Rennes et Lyon.

Vegepolys Vallée va travailler sur 7 axes d’innovation qui feront l’objet de recherches collaboratives « pour des agricultures plus compétitives, plus qualitatives, respectueuses de l’environnement et de la santé », explique sa nouvelle présidente. À cet effet, la nouvelle structure disposera d’un budget de 2,6 millions d’euros et d’une équipe de
30 personnes.

La pépinière d’entreprises Pascalis accueille depuis quelques jours la onzième antenne régionale du centre de formation social et solidaire Simplon.co. 24 apprenants ont intégré la toute première promotion pour apprendre le métier de développeur web et mobile.

Simplon.co a choisi la pépinière d’entreprises Pascalis de Clermont Auvergne Métropole pour devenir « partie prenante de l’écosystème digital local et de l’économie sociale et solidaire ». Fin juin, le centre de formation innovant a inauguré sa onzième antenne régionale et lancé sa session de « Développeur.se web et web mobile ». 24 apprenants d’horizons variés ont intégré cette première promotion. Pendant huit mois (6 mois de formation et 2 mois de stage), « ils seront accompagnés par une équipe pédagogique pluridisciplinaire pour se former à un métier d’avenir », explique Simplon.co.

Un deuxième session au printemps 2020

Basée sur la pédagogie active et en mode projet, cette formation a pour objectif de permettre aux « Simplonniens et Simplonniennes » de décrocher un emploi dans la foulée et d’obtenir un titre professionnel reconnu de niveau bac+2. Entièrement gratuite pour les apprenants, elle est financée par la Grande École du Numérique et AG2R. Une prochaine session devrait débuter au printemps 2020.

Considérée comme « une fabrique numérique et inclusive », Simplon.co est labellisée French Tech, La France s’Engage, Ashoka et EPIC. Elle constitue « le plus grand et le plus inclusif des réseaux de la Grande École du Numérique ». Ses formations gratuites et intensives aux métiers du numérique en tension sont destinées aux personnes éloignées de l’emploi ou situées dans des territoires fragiles. Depuis sa création en 2013, plus de 4 200 personnes ont été formées -dont 31% de femmes- avec un taux de retour à l’emploi de 75%. La structure est aujourd’hui présente dans plus de 50 villes en France et implantée dans 10 pays.

Comment postuler ?
La prochaine formation Simplo.co Clermont devrait débuter au printemps 2020. Les candidatures ne sont pas encore ouvertes, mais les dates seront annoncées prochainement sur le site https://simplon.co/clermont/ Pour postuler : les candidats n’ont pas besoin de diplôme ou de qualification, mais doivent être inscrits à Pôle Emploi.